Note [70] | |
Eschine (Athènes vers 390-Rhodes 314 av. J.‑C.) fut partisan de la paix d’Athènes avec Philippe ii, roi de Macédoine (v. supra notule {e}, note [3]), ce qui en fit un opposant de Démosthène (v. note [4], lettre 244). Eschine connut l’exil après avoir perdu son procès contre l’orateur Ctésiphon, qui avait décerné une couronne d’or à Démosthène. La harangue d’Eschine Contre Ctésiphon, qui fit l’admiration des Rhodiens, a été conservée (édition bilingue annotée par Édouard Somner, Paris, 1908). V. supra note [27] pour les trois Grâces. L’attribution du nom d’une Muse à chacun des neuf livres de l’Histoire d’Hérodote (v. supra note [63]) daterait du ier s. de notre ère ; mais cette remarque ne figure pas dans l’article du Moréri. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Ana de Guy Patin : L’Esprit de Guy Patin (1709), Faux Patiniana II-7, note 70. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=8220&cln=70 (Consulté le 19/02/2025) |