Note [79] | |
Page 381 (Paris, 1646), toujours à propos du gaïac (v. supra note [78]), ligne 28 (§ 17), corriger trois mots dans un passage sur le paradoxe existant entre les qualités humorales du gaïac et celles de la syphilis (vérole) qu’il soignait : Propterea, prolemata etiam manent indiscussa, cur calidum pugnet calido ? et siccum sicco ? cur corpus recipiant ægri calidi et sicci, a medicamento calido et sicco ? Quod si tale est in morbis adjunctis, cur in ipsa radice non est ? Sed et calid. [calidum] et humid. [humidum] perfecteque [perfecte] et plus nutrit, quam ius pulli consummatum ? [En outre, des questions demeurent en suspens : pourquoi le chaud lutterait-il contre le chaud, et le sec contre le sec, et pourquoi, si tel est bien le cas dans les maladies associées, ne le serait-ce pas dans la maladie première ? {a} Mais le < gaïac > nourrit-il le chaud et le froid à la fois parfaitement et plus que ne fait un bouillon complet de poulet ?] {a} La réédition de Francfort (1667, pages 303) a appliqué ces trois corrections. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Sebastian Scheffer, le 24 mai 1665, note 79.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1384&cln=79 (Consulté le 25/04/2025) |