Note [8] |
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« si nos princes persévèrent résolument dans une stupidité aussi grande que celle où ils ont vécu jusqu’à présent. » L’aînée mazarine était Laure Mancini (v. note [35], lettre 176), que Guy Patin a bien qualifiée ici, non pas de mazarine, mais de maroquine : « On dit ironiquement, vous êtes un plaisant maroquin, un plaisant bouffon » (Furetière), mais la peau mate de Laure pouvait aussi être un sujet de raillerie. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Nicolas Belin, le 19 juin 1649, note 8.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0184&cln=8 (Consulté le 23/01/2025) |