Note [8] |
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« ce que disait cet homme épuisé dans Pétrone : {a} “ Crois-moi, frère, je ne sens plus que je suis un homme ; je n’y comprends rien. Elle est morte, cette partie de mon corps qui jadis faisait de moi un Achille. ” » |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 1er juin 1663, note 8.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0751&cln=8 (Consulté le 12/02/2025) |