Note [8] |
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Plaisant aveu de Guy Patin, après les hauts cris qu’il a poussés dans sa lettre du 7 septembre 1667 à Johann Daniel Horst (v. sa note [1]) quand il vilipendait les libraires parisiens l’accusant d’exercer clandestinement leur profession (comme il le faisait effectivement avec son fils Charles, v. les Déboires de Carolus). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Sebastian Scheffer, le 3 novembre 1667, note 8.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1475&cln=8 (Consulté le 17/01/2025) |