Note [9] |
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Guy Patin voulait parler non pas de ses propres thèses de bachelier, mais des trois thèses qu’il avait écrites et présidées jusque-là : en 1627, pour la quodlibétaire de Georges Joudouin (v. note [10], lettre 3), « sur la passion utérine » ; en 1643, pour la quodlibétaire de Paul Courtois, « L’homme n’est que maladie » ; en 1647, pour la cardinale de Jean de Montigny sur la Sobriété. Patin avait levé le nez de ses livres pour épouser Jeanne de Janson le 10 octobre 1628. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 19 septembre 1659, note 9.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0579&cln=9 (Consulté le 11/02/2025) |