Note [9] |
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« pendant toute la décrue de la maladie des bouillons rafraîchissants faits des meilleures viandes, avec de la tisane ordinaire et la décoction de salsepareille [v. note [4], lettre 220]. » |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 15 avril 1661, note 9.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0690&cln=9 (Consulté le 18/04/2025) |