Note [9] |
|
V. notes [32], lettre 442, pour le traité « sur la Pleurésie » de François Blondel, resté inédit. Guy Patin reprochait ici à son collègue Blondel d’être encore plus rétrograde que lui : il ne jurait que par Hippocrate et Galien, sans aucune considération pour les travaux des modernes, dont le plus éminent, aux yeux de Patin, était Jean Fernel. |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Johannes Antonides Vander Linden, le 4 janvier 1657, note 9.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1102&cln=9 (Consulté le 28/04/2025) |