Note [b] | |
Au contraire de Voltaire, Charles‑Augustin Sainte‑Beuve (1804‑1869) prisait fort les Lettres de Guy Patin. Il a consacré à leur auteur ses Causeries du lundi des 25 avril et 2 mai 1853 (Paris, Garnier frères, sans date, in‑8o, 3e édition, tome huitième, pages 88‑109 et pages 110‑133). Dans cette biographie détaillée de Patin, Sainte‑Beuve ne dissimule pas sa profonde admiration pour son sujet ; mais il savait aussi éreinter, comme le montre sa note au bas de la page 88 :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Annexe : Avis critiques sur les Lettres de Guy Patin : Voltaire, Sainte-Beuve, Nisard, Pic, Mondor, Jestaz, Capron, note b.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=8037&cln=b (Consulté le 18/01/2025) |