Note [7] |
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« en raison tant de la cause qui, dans les deux cas, a été une putréfaction éminente et remarquable, que des symptômes qui, dans les deux cas, ont été gravissimes. » Les deux cas que Guy Patin distinguait ici étaient les pestes couvertes (larvées ou atypiques, avec seulement de la fièvre) et manifestes (franches ou typiques, avec bubons et charbons). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude II Belin, le 18 octobre 1630, note 7.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0005&cln=7 (Consulté le 14/03/2025) |