Note [12] |
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« qui furent cependant retirés à contrecœur. » « C’était une des cérémonies en faisant les chevaliers, de leur chausser les éperons. Quand on rend la foi et hommage, il faut quitter ses éperons » (Furetière) ; v. note [19], lettre 54, pour le mauvais accord entre le duc de Lorraine et Louis xiii. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude II Belin, le 13 avril 1641, note 12.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0055&cln=12 (Consulté le 16/03/2025) |