À Charles Spon, le 1er mars 1650, note 51.
Note [51]

« qui, bien qu’il fût tout à fait digne de l’immortalité ».

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 1er mars 1650, note 51.

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(Consulté le 14/12/2025)

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