Note [1] | |
« Vieillesse sera incurable cette année à cause des années passées » : adage ironique de François Rabelais (v. note [6] du Borboniana 9 manuscrit), que Guy Patin aimait à surnommer le Lucien (de Samosate) français (v. note [14], lettre 41). Né le 23 décembre 1601, Vopiscus Fortunatus Plempius était dans sa 63e année d’âge (comme était Patin, né le 31 août 1601), soit la dernière de son neuvième septénaire, celle qu’on tenait pour être la grande climatérique : la théorie pythagoricienne des nombres (reprise par les néoplatoniciens) fondait le renouvellement des parties du corps humain sur un cycle de sept ans, mais Claude ii Saumaise l’avait battue en brèche dans ses discussions de Annis climatericis… [sur les Années climatériques…] (Leyde, 1648, v. note [27], lettre 146). Une longue critique de la grande climatérique occupe les pages 438‑439 des Hippocratis Magni Coacæ Prænotiones… [Prénotions coaques du grand Hippocrate…] de Louis Duret (Paris, 1588, v. note [10], lettre 11), avec ce préambule :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Arnold Senguerdius, le 4 juin 1664, note 1.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1332&cln=1 (Consulté le 07/02/2025) |