À Charles Spon, le 8 juillet 1650, note 2.
Note [2]

Jean Merlet conserva sa pratique (clientèle) et ses revenus car il ne mourut qu’en 1663.

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 8 juillet 1650, note 2.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0236&cln=2

(Consulté le 07/02/2025)

Licence Creative Commons