Note [7] |
|
« mais il n’a pas mis assez de prudence à s’occuper de ses affaires, et pas eu toute la prévoyance requise pour sa propre sécurité. » Les deux vers français qui suivent sont les deux derniers de la Satire iii de Mathurin Régnier (v. note [23] du Borboniana 10 manuscrit). On en trouve l’équivalent latin, Magis magnos clericos non sunt magis magnos sapientes [Les plus grands clercs ne sont pas les plus grands sages], dans Rabelais (Gargantua, chapitre xxxix) et Montaigne (Essais, livre i, chapitre xxiv, Du Pédantisme). |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 22 février 1656, note 7.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0433&cln=7 (Consulté le 16/01/2025) |