Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli (1651)
Chapitre ix
Note [11]
Même sans y associer de piqûres ou de scarifications cutanées, la pose d’une ventouse visait à provoquer un épanchement de sang dans le derme, sous la forme d’un hématome comparable à celui que provoque une contusion, ce qui lui a valu le nom plus tardif de « saignée capillaire ».
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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