Note [11]
Jean Pecquet a parlé de cacabus cordis [marmite du cœur] dans le chapitre v de sa Dissertatio anatomica, à la fin du premier paragraphe de la page 40. Le traducteur de Jean ii Riolan a manqué de fidélité à sa source : cor erit chyli cacabus, (ut loquitur ille) [le cœur sera la marmite du chyle (pour parler comme lui)].
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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