Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
1re de 6 parties
Note [12]
Valère Maxime, Faits et paroles mémorables, livre vi, ii, § 10 :
Etiam Castricii libertate inflammatus animus. qui, cum Placentiae magistratum gereret, Carbone consule iubente decretum fieri, quo sibi obsides a Placentinis darentur, nec summo eius imperio obtemperauit nec maximis uiribus cessit: atque etiam dicente multos se gladios habere respondit “ et ego annos ”.[Le courage de Castricius était aussi tout embrasé du feu de la liberté : étant premier magistrat de Plaisance, il reçut du consul Carbon l’injonction de décider par un décret que les habitants de cette ville lui donneraient des otages ; mais il ne voulut ni se soumettre à l’autorité suprême du consul, ni fléchir devant les grandes forces dont il disposait ; et même, le consul lui faisant observer qu’il avait bien des épées, il osa répondre : « Et moi, bien des années ! »]
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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