Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli (1651)
Chapitre v
Note [13]
Jean Pecquet se méprenait encore en dotant les veines d’un pouvoir vasomoteur : c’est la constriction des artères qui peut interrompre la circulation du sang dans un tissu.
V. notes Patin 6/1446, pour l’inflammation (fluxion ou phlegmasie) et sa tétrade, dite de Celse (rougeur, gonflement, chaleur et douleur), et 14/8009, pour les phlegmons, dont la nature était tenue pour sanguine.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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