Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli (1651)
Chapitre ix
Note [13]
Le vide et non quelque hypothétique attraction (semblable à celle d’un aimant) provoquait les effets de la chaleur que Jean Pecquet avait observés sur le thermomètre, les ventouses et l’éolipyle.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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