Note [13]
Le latin de Charles Le Noble rend son récit et son raisonnement incertains.
Cela dit, la lettre de Le Noble est admirable car il n’était guère possible en 1655 de pousser plus loin l’exploration de la voie du chyle et d’en tirer des déductions plus pertinentes que celles qu’il y exposait. Dans sa réponse, qui suit, Jean ii Riolan semble l’avoir perçu, mais sans en exploiter parfaitement tous les brillants enseignements (v. notes [7]‑[11] de sa réponse à Le Noble).
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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