Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli
(1651)
Chapitre v

Note [14]

Ce bouquet final cherche à lier pêle-mêle nombre de maladies dites internes (sans y mentionner les fièvres) aux perturbations de la circulation sanguine, mais sans renoncer aux canons de la médecine humoriste, dont les derniers éclats ont brillé au début du xixe s. ; v. notes Patin :

Il est moins sage d’en rire que de se demander ce qu’on pensera de notre médecine dans quatre siècles.


Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli
(1651)
Chapitre v, note 14.

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(Consulté le 10/12/2025)

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