Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli (1651)
Chapitre ix
Note [14]
Jean Pecquet omet ici de préciser que la mise en action des muscles inspiratoires ne provoque d’aspiration dans la bouche que si les narines sont bouchées et les lèvres serrées autour de la queue de l’éolipyle (dont il ne dit pas non plus qu’il est froid, rempli d’air et vide d’eau).
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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