Note [14]
Une telle conception de la peau surprend aujourd’hui mais était alors fort répandue : ses pores sudoraux et sébacés en faisaient un émonctoire (v. note [8], Nova Dissertatio, expérience iii) de première importance étant donné l’étendue du tégument. Cette fonction est réelle mais il est fort exagéré d’associer toutes les maladies de la peau au dépôt des « ordures » qu’elle est supposée éliminer.
Les idées du xviie s. sur les affections citées sont résumées dans les notes Patin :
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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