Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli (1651)
Chapitre ix
Note [15]
« Éolipylaire » est ma traduction néologique de l’adjectif æolipilaris, néolatinisme savant que je n’ai vu que sous la plume de Jean Pecquet.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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