Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli (1651)
Chapitre ix
Note [16]
Jean Pecquet sous-entend par l’adverbe subito que, pour la réussite de l’expérience, le transfert doit être immédiat : la queue de l’éolipyle a beau avoir un canal très fin, il ne faut pas l’exposer plus d’un très bref instant à l’air ambiant si on veut éviter qu’il ne soit aspiré dans la machine ; le mieux devait être de la laisser directement tomber, queue en bas, dans une bassine d’eau que l’expérimentateur avait placée juste au-dessous de sa bouche.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.