Note [16]
V. note [47], Brevis Destructio, chapitre iv, pour cette référence d’Hyginus Thalassius aux rhumes et aux « affections rhumatiques » (fluxions). Les progrès de la physiologie et de la pathologie ont entièrement ruiné la brillante logique de ce raisonnement humoral, qui faisait du chyle ce qu’est devenu l’oxygène de l’air, source des esprits vitaux émanant des poumons et du cœur.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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