Texte : Clypeus
de Guillaume de Hénault,
alias Jean Pecquet (1655),
5e et dernière partie
Note [2]
Bien que filandreuse, la critique du Clypeus était pertinente si on se fonde sur la physiologie moderne, en oubliant les spéculations désuètes sur la chaleur et l’humidité relatives des parties corporelles (v. note [10], Dissertatio anatomica de Jean Pecquet, chapitre v) : aucune d’elles ne se nourrit exclusivement de chyle et toutes se nécrosent si elles sont privées de sang.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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