Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
1re de 6 parties
Note [2]
« Comme se repose, quand la vieillesse l’accable, un cheval vigoureux qui a souvent remporté la victoire olympique au dernier tout de piste » : Quintus Ennius (v. notule {b}, note [24], lettre de Samuel Sorbière à Jean Pecquet), cité par Cicéron, De la Vieillesse, chapitre v.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.