Note [21]
Écoulement aberrant de chyle passant dans l’utérus, responsable de pertes blanches (leucorrhée) confondues avec celles de la gonorrhée vénérienne (gonococcie ou chaude-pisse, v. note Patin 11/8175), soit de quoi excuser savamment les épouses volages auprès de leur mari (ou l’inverse).
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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