Note [21]
C’est-à-dire le sang qui arrive dans l’oreillette gauche à la fois par le foramen ovale (directement venu de l’oreillette droite) et par les veines pulmonaires (venu de l’artère pulmonaire par l’intermédiaire des poumons) : en mélangeant absurdement les circulations prénatale et postnatale, Jean ii Riolan exploitait avec cruelle jubilation l’omission de Jean Pecquet (v. supra note [18]).
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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