Note [25]
Dans cette phrase, j’ai respecté la conjugaison des verbes au futur, car Sebastianus Alethophilus estimait que la découverte de Jean Pecquet n’avait pas entièrement résolu la question du chyle (v. supra notes [3] et [23]). Les mettre au présent inverserait le sens et ferait de Pecquet le médecin à qui Samuel Sorbrière accordait toute sa plus haute estime scientifique, qui, je crois, n’était pas inconditionnelle : peut-être qu’à ses yeux, comme à ceux de Jean ii Riolan et William Harvey, le foie n’était pas à exclure de la digestion des aliments, mais il ne voulait pas clairement le dire.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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