Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
6e et dernière partie
Note [25]
Je suis revenu penaud, mais pas entièrement bredouille de mes recherches dans les ouvrages de Louis Duret. Les pièces liminaires de son édition commentée des Prænotiones Coacæ [Prénotions coaques] d’Hippocrate {a} contiennent un poème latin de 21 vers que Henri i Blacvod {b} adressait à Jean Duret, {c} fils de Louis (mort en 1586), et qui commence ainsi :
Macte animi iuvenis, multos vigilata per annos,
Qui patris monumenta tui das luce potiri.[Courage, jeune homme ! toi qui mets au jour les ouvrages de ton père, car tes soirées vont y être occupées pendant nombre d’années]. {d}
- Paris, 1588, v. note Patin 10/11.
- V. note Patin 29/390.
- V. note Patin 3/149.
- Je conviens humblement que cette explication du Macte igitur animi [Courage donc Monsieur !] de Charles Artur du Plessis est bancale car elle supposerait son incapacité des plus improbables à comprendre ce qu’il lisait.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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