Texte : Jean Pecquet
Nova de thoracicis
lacteis Dissertatio (1654)
Expérience i
Note [27]
N’ayant trouvé nulle part l’adjectif latin lotivus, le contexte et sa proximité avec lavatus, « nettoyé » (plutôt que lotium, « urine »), m’ont incité à le traduire par « nettoyant » (plutôt que par « urineux »).
La faible acidité de la lymphe qui favoriserait la fermentation du sang et du chyle ne correspond à aucun mécanisme biologique que la médecine moderne permet de comprendre.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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