Note [28]
Une note marginale d’Hyginus Thalassius renvoie aux Géorgiques de Virgile ; livre iii, vers 489‑493, sur une bête frappée d’épidémie, morte avant d’avoir été sacrifiée :
« Le prêtre n’ayant pas eu le temps de l’immoler avec le fer, ses entrailles ne fument pas sur l’autel où on les a mises [et le devin interrogé ne peut rien répondre] ; {a} c’est à peine si les couteaux se sont teintés de sang et si un filet de sanie {b} a foncé le sable. »
- Omission du vers 491 : nec responsa potest consultus reddere vates.
- Sérosité sanguinolente.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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