Note [29]
« Les anciens condamnaient l’art, mais non la chose » : Histoire naturelle, livre xxix chapitre viii (Littré Pli volume 2, page 299), à propos de l’art de soigner selon Caton l’Ancien (v. note Patin 5/8062) qui ne recourait pas aux services d’un médecin, se contentant d’un recueil de recettes pharmaceutiques (antidotaire) qu’il avait dans sa bibliothèque.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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