Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli (1651)
Chapitre vi
Note [3]
Aux deux postulats erronés qui sont énoncés dans la note [2] supra s’ajoute ici la double « aspiration » exercée (1) par le sang qui s’écoule de la crosse aortique dans l’aorte descendante, et (2) par celui de la tête et des membres supérieurs (veines jugulaires et subclavières) qui revient au cœur en passant par la veine cave supérieure.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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