Note [3]
« La victoire te rendra égal aux dieux. » En en gommant l’athéisme épicurien de Lucrèce, ce latin imite La Nature des choses (v. note Patin 131/166), livre i, vers 178‑179 :
Quare religio pedibus subiecta vicissim
opteritur, nos exæquat victoria cælo.[Pour avoir vaincu la religion et l’avoir foulée aux pieds, la victoire nous rend égaux aux dieux].
Jean ii Riolan était le plus acerbe des « vieillards jaloux » qui s’attaquaient à Jean Pecquet. Samuel Sorbière encourageait son ami à poursuivre ses travaux sur les voies du chyle, mais en laissant entendre que leur interprétation ne l’avait pas encore entièrement convaincu.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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