Note [3]
Hyginus Thalassius accablait Jean ii Riolan, princeps doctrinæ [le prince de la science], de deux autres références à L’Histoire naturelle de Pline.
Atlantes degeneres sunt humani ritus, si credimus. nam neque nominum ullorum inter ipsos appellatio est et solem orientem occidentemque dira imprecatione contuentur ut exitialem ipsis agrisque, neque in somno visunt qualia reliqui mortales.« Les Atlantes, {a} si nous ajoutons foi aux récits, ont perdu les caractères de l’humanité ; ils n’ont point entre eux de noms qui les distinguent ; ils regardent le Soleil levant et couchant en prononçant des imprécations terribles, comme contre un astre funeste à eux et à leurs champs ; ils n’ont pas de songes, comme en ont les autres hommes. »
- Dans la géographie antique, les Atlantes, Atalantes ou Apharantes (v. note [1], Responsio ad Pecquetianos, 5e partie), étaient un peuple d’Afrique du Nord (Atlas) qui méprisait le Soleil.
Est igitur in toto suo globo tellus medio ambitu præcincta circumfluo mari. Nec argumentis hoc in investigandum, sed jam experimentis cognitum.« La Terre est donc, dans toute sa circonférence, entourée par la mer, qui la baigne ; et il n’est pas besoin de chercher des arguments pour le prouver, l’expérience l’a déjà démontré. »
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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