Texte : Clypeus
de Guillaume de Hénault,
alias Jean Pecquet (1655),
4e de cinq parties
Note [3]
Le Clypeus en venait aux six arguments sur lesquels Charles Le Noble a fondé son admirable intuition sur les « deux chyles », hydrosoluble et liposoluble, qui fondent la physiologie digestive moderne.
Dans cet extrait de la page 13 de sa lettre (première partie), portant sur l’étroitesse des lactifères, il a écrit « Aselli » pour « Pecquet », en confondant les lactifères mésentériques et thoraciques (v. sa note [16]). Ma traduction a corrigé cette coquille manifeste, dont l’auteur du Clypeus aurait pu faire son miel si elle ne lui avait curieusement échappé.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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