Texte : Jean ii Riolan
Première Responsio (1652) aux
Experimenta nova anatomica
de Jean Pecquet (1651).
5. Discours contre la nouvelle
doctrine des veines lactées

Note [30]

si defuerint, valde corruptum pronuntiant : ainsi s’achève le Discours contre la nouvelle Doctrine des Veines lactées dans la première Responsio de Jean ii Riolan parue en 1652. À la fin de son livre, il a ajouté une remarque que Sauvin a traduite et augmentée dans sa version française (1661, pages 702‑705), tirée de la dernière édition (posthume) de l’Encheiridium anatomicum (Paris, 1658, v. supra note [1]), supplément, pages 503‑504.

L’intérêt de cette addition de 1652, rallongée et traduite en 1661 (v. infra note [33]), est aujourd’hui de voir si le raisonnement de Riolan allait le mener jusqu’à penser que le chyle des veines lactées n’est que la partie graisseuse du suc tiré des aliments par l’intestin grêle.


Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Première Responsio (1652) aux
Experimenta nova anatomica
de Jean Pecquet (1651).
5. Discours contre la nouvelle
doctrine des veines lactées
, note 30.

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(Consulté le 08/12/2025)

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