Note [31]
Ayant déjà dit son grand intérêt pour le fonctionnement obscur du cerveau (v. supra note [10]), Sebastianus Alethophilus, alias Samuel Sorbière, faisait allusion aux entretiens (dont je n’ai pas trouvé de trace imprimée) qu’il avait eus sur le système nerveux avec deux de ses amis :
V. note Patin 3/8150 pour les sept paires de nerfs crâniens qu’on comptait alors (contre 12 aujourd’hui).
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.