Note [32]
« qu’ils se nourrissent de gland quand on a du blé », Cicéron, L’Orateur, chapitre ix : Est in quibusdam tanta perversitas ut innuentis frugibus glande vescantur [Il y a chez certains tant de bizarrerie qu’ils se nourrissent de glands, quand on a le blé] ; citation reprise en exergue de deux libelles contradictoires de la guerre antimoniale en 1653 et 1654 (v. notule {b}, note Patin 21/312, notule {b}), que Samuel Sorbière avait sans doute lus.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.