Note [32]
Après avoir imaginé un lien entre le chyle et les adénopathies (cervicales, céphaliques, axillaires et inguinales), Jean ii Riolan en venait à leur ulcération (écrouelles d’origine tuberculeuse, v. note Patin 10/274).
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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