Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli (1651)
Chapitre ix
Note [5]
Autrement dit, une pompe ferait monter les liquides sans limite de hauteur si l’horreur du vide agissait (mais elle n’existe pas, v. supra note [1]), ou si la pesanteur et l’élasticité de l’air étaient infinies (mais elles n’exercent heureusement sur la Terre qu’une pression de 780 millimètres de mercure, soit 104 kilopascals).
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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