Note [5]
Cet argumentaire, aujourd’hui incompréhensible, découle du fait que Jean ii Riolan croyait en l’alternance, centripète et centrifuge, du mouvement sanguin dans les veines (tout particulièrement dans la porte) : v. supra note [2].
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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