Note [5]
Les esprits animaux n’étaient encore qu’une représentation abstraite de l’influx nerveux. Comme l’avait expliqué Jean Pecquet, après William Harvey, dans les deux premiers chapitres de sa Dissertatio anatomica, les forces et les dispositifs anatomiques qui poussent le sang veineux à retourner dans le cœur demeuraient en grande partie hypothétiques et sont bien moins triviaux que ce que Charles Le Noble en disait ici.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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