Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli (1651)
Chapitre ii
Note [6]
Le sang venu de ces viscères provoquait la dilatation de la veine mésentérique (ou mésaraïque supérieure) et de la veine splénique. Privée de ses deux racines principales et sans reflux venant du foie, la veine porte s’était au contraire affaissée.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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