Texte : Thomas Bartholin
Historia anatomica
sur les lactifères thoraciques (1652)
chapitre xvi
Note [6]
Tout cela est aussi confus qu’invraisemblable : les démonstrations de Thomas Bartholin étaient très loin d’égaler celles de Jean Pecquet, qui n’a pas vu de lactifères gagnant le foie, au point qu’on en vient à se demander si Bartholin a seulement vu ce qu’il décrit.
J’ai respecté son vocabulaire qui donnait le même nom de « chyle » au chyme et au chyle proprement dit, qui en dérive (v. note [17], Nova Dissertatio, expérience i). Il appelait « chyle séreux » la lymphe qui se trouve dans les lactifères en période de jeûne.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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