Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli (1651)
Chapitre ix
Note [7]
L’élévation des godets des roues hydrauliques (norias) recourt en effet à un principe tout à fait différent de celui des pompes aspirantes. Jean Pecquet n’a pas jugé bon de parler des pompes refoulantes (refluantes) qui mettent à profit la descente du piston (systole) et l’aide d’une soupape pour chasser l’eau dont sa montée (diastole) a rempli le tube.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.